Après une catastrophe, un peu de sexe vaut mieux que rien ! Étude des conséquences d’un séisme majeur sur la dynamique de récupération des populations sexuées et asexuées
Résultat scientifique
Biologie
Après un cataclysme, le sexe peut momentanément paraitre comme une perte de temps et d’énergie.
Pourtant, une étude parue dans Evolutionary Applications, réalisée par des chercheurs de l’Unité Mixte Internationale franco-chilienne de la station Biologique de Roscoff (UMI 3614, CNRS, Sorbonne Université, Université Australe du Chili), de l’ UMR 1349 (INRA, Le Rheu) et du département d’écologie (Université catholique de Conception, UCSC, Chili), montre que la reproduction sexuée peut s’avérer indispensable à plus long terme pour une meilleure résilience des populations.