Des cellules solaires qui s’auto-réparent dans le noir
La "fièvre pérovskite" qui s’est emparée de la communauté photovoltaïque s’amplifie depuis que des rendements records de conversion dépassant maintenant les 22% atteignent ceux du silicium.
Mais ces matériaux sont instables et augmenter leur stabilité est indispensable pour envisager le passage du dispositif de démonstration à une production industrielle.
L’équipe conjointe de l’Institut des sciences chimiques de Rennes (CNRS/Université de Rennes 1) et du laboratoire FOTON (CNRS/INSA de Rennes) s’est associée à plusieurs laboratoires américains pour mettre en évidence et analyser l’auto-réparation (self-healing) de cellules pérovskites après une dégradation très lente des rendements photovoltaïques sous rayonnement solaire. Ces travaux sont publiés dans la revue Nature Communication.
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